Tram T1 Fermeture entre Gare de St Denis et marché de St Denis du 24 au 26 avril inclus
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Métro 1 : Fermeture entre La Défense et Charles de Gaulle–Étoile du 5 au 8 mai inclus
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Réponses aux constats des Témoins de lignes de février 2017
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Vous le savez, pour la première fois en Île-de-France, le STIF a lancé une consultation sur le choix du matériel roulant. Du 18 janvier au 18 février 2017, les Franciliens ont pu choisir le design pour les Trams 9 et 10 et vous avez été plus de 40 000 votants.  

 

Si ce n’est pas encore fait, vous pouvez voir les résultats sur le site dédié www.design-futur-tram.fr

Un tramway pour l'Europe - 22 avril 2017

Le tramway passera sur le pont entre Strasbourg et Kehl, entre la France et l'Allemagne. 

 

Le bus approche sans beaucoup ralentir, s'arrête devant une grappe fournie de passagers, portant des paquets débordants de produits ménagers, de droguerie et puériculture. On se hâte devant les portes : les places assises sont chères sur la ligne 21.

 

Il est toujours plein, ce bus qui relie toutes les 9 neuf minutes Strasbourg et Kehl, la France et l'Allemagne, en passant au dessus du Rhin. Ce trait d'union vit ses derniers jours. Bientôt, c'est le tramway qui enjambera la frontière, couture de rail visible et permanente entre les deux pays fondateurs de l'Europe.

 

Un nouveau pont, qui sera illuminé la nuit, a été construit pour accueillir la nouvelle ligne. L'inauguration est annoncée pour le vendredi 28 avril, la mise en service, le lendemain.

 

«Ils peuvent bien remettre des frontières, le tram passera toujours»

 

Insensible aux cahots du bus qui ballote les corps dans l'allée centrale, Marie, 30 ans, attend le moment avec impatience. Cette infirmière travaille tout près du fleuve, au dernier arrêt avant l'Allemagne. Elle franchit souvent le pont pour faire ses courses «tellement moins chères» côté allemand, «surtout les couches». 

 

Ils peuvent bien remettre des frontières, le tram passera toujours.»

 

 

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Le bus 21 atteint son terminus, tout le monde descend au beau milieu du nouveau quartier du Port du Rhin, et remonte dans le tramway, ligne D, vers le centre historique de Strasbourg. Danielle et Marie-Thérèse sont contentes: elles ont trouvé deux places assises, au soleil de surcroît à travers les grandes vitres du tram.

 

Elles rentrent de Kehl : «normalement je fais mes courses en France, je suis patriote, mais il y a ce magasin de décoration qu'on aime bien. On est allé y faire un tour…», explique cette retraitée de 67 ans, tenant à la main un sac d'où dépassent des fleurs artificielles. 

 

-22 avril 2017

l'Adutec présent à l'assemblée generale de l'AUT en présence d'Alain Krakovitch Directeur SNCF Transilien - 21 avril 2017

Bercy M14 - 20 avril 2017

Livraison fin septembre de l’accès secondaire à Bercy :
http://www.adapter-les-stations-de-la-ligne14.com/derniere-ligne-droite-pour-bercy/

A coup sur, les travaux côté SNCF ne seront pas finis...

Les premières poses de voie ferrée du prolongement de la ligne 14 au Nord sont actuellement en cours dans le tunnel entre Saint-Lazare et Pont Cardinet - 13 avril 2017

Le film sera diffusé du 5 au 18 avril et du 17 au 30 mai dans tous les cinémas d’IDF.

Alstom remporte la rénovation des MI 84 -  2 avril 2017

 

À l’issue d’un appel d’offres, la RATP a désigné Alstom comme le futur titulaire du marché de rénovation des rames MI 84 utilisées sur la ligne B du RER. Dans son schéma directeur du matériel roulant, le Stif prévoit pour l’exploitation de la ligne B du RER l’emploi des 117 rames MI 79 et de 31 à 41 rames MI 84. Les premières ont fait l’objet d’une rénovation lourde entre 2010 et 2016 ; les secondes, construites entre 1985 et 1989, sont encore dans leur état d’origine et font donc pâle figure avec les premières.

Le marché d’un montant de 94,4 millions d’euros porte sur les études, l’industrialisation et la réalisation de cette rénovation lourde, qui sera faite sur le site de Reichshoffen. La tranche ferme comprend 31 rames et la tranche optionnelle jusqu’à 10 rames. L’opération technique permettra une prolongation de la durée de vie et portera pour l’essentiel sur le transformateur haute tension, le mécanisme des portes et le châssis.

La rénovation, semblable à celle du MI 79, portera sur une nouvelle livrée (ce matériel étant purement RATP, le rappel du carmillon SNCF disparaîtra peut-être), nouveau revêtement de sol, nouveaux sièges, changement des barres de maintien, pose d’une ventilation réfrigérée, éclairage à leds, vidéoprotection, information dynamique, espace PMR. Le nombre de places passera de 256 à 312 car, dans la version RER A, ce matériel a perdu une travée au droit de chaque plate-forme d’accès. Rappelons que la présence de bagagerie n’est plus retenue. La convention de financement (50 % Stif, 50 % RATP) doit être signée par le Stif fin mars. Les deux premières rames sont attendues en 2019, le programme se poursuivant jusqu’en 2021.

Bientôt un bus de nuit le long du tramway T1 entre La Défense et Saint-Denis - 2 avril 2017

Le Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif) améliore son réseau nocturne de bus. A l’horizon 2019-2020, une nouvelle ligne baptisée N 73 reliera le quartier d’affaires de La Défense à Saint-Denis. Tracée en rocade (autour de Paris), cette ligne suivra l’itinéraire du Tramway T1 et de ses futures extensions. Elle passera notamment par Colombes et les Courtilles, entre Asnières et Gennevilliers.

Au total, ce sont près de 30 M€ qui doivent être investis par le Stif sur les 4 ans qui viennent afin de renforcer la fréquence des principales lignes Noctilien et prolonger certaines lignes et créer de nouvelles dessertes, comme la N 73. Autre nouveauté annoncée : l’expérimentation de l’arrêt à la demande entre deux arrêts dans les bus de nuit, pour plus de sécurité pour les voyageurs qui auront ainsi moins de trajet à faire à pied.

À l’heure actuelle, on compte en moyenne 27 500 voyageurs par nuit en semaine et jusqu’à 41 000 le week-end dans le réseau Noctilien.

Marché Vélib' : l'offre JCDecaux-RATP-SNCF écartée au profit de Smoove - 1 avril 2017

Renforcement du système d'alimentation électrique des trains
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La ligne du T1 prolongée par les deux bouts - 1 avril 2017
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Selon nos informations, Valérie. Pécresse chercherait un terrain d'entente avec le maire de Noisy-le-Sec autour de la proposition de voie unique rue Jean-Jaurès.
Dans l'hypothèse où cette proposition échouerait, le STIF en accord avec la RATP et les départements de Seine Saint-Denis et du Val-de-Marne, proposerait un plan B. Cela consisterait à démarrer le projet depuis Val-de-Fontenay et à construire un premier tronçon avec le SMR jusqu’à l'arrêt Place Carnot à la limite de Noisy-le-Sec, en correspondance avec la ligne de métro 11 prolongée. Le tronçon manquant Place Carnot - gare de Noisy-le-Sec étant reporté à plus tard.
Cette approche pragmatique débloquerait enfin la situation et aurait de plus le mérite d'alléger le coût du projet d'une centaine de millions d'euros (sur 450), ce qui le rendrait moins difficile à financer. Par contre, il ne permettrait pas d'utiliser le SMR de Montreuil pour garer les rames du T1 actuel durant l'opération de renouvellement de celles-ci.

 

Si la situation à Noisy-le-Sec ne se débloque pas, sans plan B, c'est la totalité du projet qui tombe à l'eau. Peut-être les Noiséens changeront ils d'opinion lorsqu’ils verront le premier tronçon en service.

Souhaitons que le blocage actuel de ce projet disparaisse, soit par l’acception de la voie unique à Noisy-le-Sec (attention aux difficultés d'exploitation !) soit par le plan B de phasage de la construction.

 

Ensuite, il restera à régler le problème du financement (450 M€ pour 6,5 km !) que j'ai toujours considéré comme le vrai point dur de ce projet, pour employer des mots mesurés.

 

A noter cependant que lors de la révision du CPER, la part du "bloc local" (essentiellement le département) a été réduite et celle de l'Etat augmentée, ce qui rendrait le financement de ce prolongement un peu moins problématique.

Les navettes autonomes - 1 avril 2017

La révolution du transport autonome est bel et bien enclenchée.

A l'heure des smart cities, les véhicules autonomes - du bus au véhicule particulier en passant par les navettes - feront partie intégrante de notre mobilité au quotidien.

Le conseil du STIF fait ses comptes - 1 avril 2017

« Tarif unique sauvegardé et dépenses maîtrisées », nous annonce le communiqué du Stif à la sortie du conseil d’administration du 22 mars.

 

Il s’agissait en effet de consolider les recettes correspondant au surcoût du passe Navigo à tarif unique… que Valérie Pécresse arrivée à la présidence suite aux élections régionales de décembre 2015 avait évalué à 300 millions d’euros en année pleine.

 

C’est chose faite, puisque le budget 2017 voté le 22 mars prend acte des « démarches entreprises pour solder de manière définitive l’ardoise du Passe Navigo à tarif unique : une augmentation du versement transport – environ 200 millions d’euros par an en année pleine –, 100 millions d’euros de TICPE et des recettes tarifaires supplémentaires liées à la mise en œuvre de mesures pour lutter plus efficacement contre la fraude », explique le Stif.

 

Hors rentrées tarifaires, les prévisions de recettes pour 2017 s’établissent ainsi à 6,347 milliards d’euros. L’autorité organisatrice francilienne précise aussi qu’elle-même, ainsi que les entreprises de transports, « gagnent en efficacité et maîtrisent les dépenses annuelles de fonctionnement qui diminuent en 2017 de 0,4 % à 5,719 milliards d’euros ».

 

C’est ainsi qu’elle annonce pouvoir cette année « intensifier son ambitieuse politique d’investissement : +34 % par rapport à l’exécuté 2016, soit des dépenses d’investissement à 1,624 milliard d’euros ». C’est notamment sur le matériel roulant qu’iront ces fonds, avec une prévision d’engagements pluriannuels de presque 2,3 milliards d’euros, correspondant à « 148 rames neuves ou rénovées qui seront livrées au cours de l’année 2017 ».

 

Des RER, des Transilien, des trams et des métros.

 

Malgré tout, afin de faire face à la hausse tendancielle de ses coûts de fonctionnement, le Stif estime qu’il doit augmenter ses ressources d’environ 3 % par an. « Cela passe par une augmentation de la fréquentation payante sur le réseau, renforcée par des efforts sans précédents sur la lutte contre la fraude, et par une hausse tarifaire », justifie-t-il. Une augmentation du forfait Imagine R destiné aux jeunes (scolaires, étudiants, apprentis) de 2,5 % est actée, représentant une dépense supplémentaire de 8,10 euros par an pour l’abonné, soit un total de 342 euros par an (contre 333,90).

 

« Les masques tombent. Alors que l’exercice 2016 a été marqué pour la première fois par un recul de l’investissement de 173 millions euros en dépit de projets en attente de financement sur les territoires, Valérie Pécresse annonce une nouvelle hausse des tarifs », s’agace-t-on au cabinet de Stéphane Troussel, le président (PS) du conseil départemental de Seine-Saint-Denis.

 

Et ce ne serait que le début. Bien que ce ne soit pas voté, selon la Seine-Saint-Denis, « une nouvelle hausse de 3 euros du passe Navigo est attendue à l’été venant s’ajouter aux 3 euros d’augmentation de 2016. Ajoutée aux hausses d’impôts pour les entreprises que la droite a obtenues dans le dernier budget et au sous-investissement chronique de la région depuis un an dans les transports, c’est une véritable “cagnotte“ que se constitue Valérie Pécresse sur le dos des Franciliens », poursuit-on en Seine-Saint-Denis où l’on craint que les habitants les plus fragiles soient les premières victimes.

 

Sans aller jusqu’à parler de cagnotte, le conseiller de Paris Front de Gauche, Jacques Baudrier, s’est également questionné dans Le Parisien : « Pourquoi faire payer les gens alors qu’il y a un excédent et que les investissements proposés en échange sont très insuffisants ? » 

 

Pierre Serne, administrateur EELV, relève lui aussi des contradictions par un message assassin sur son compte Facebook : « Le compte financier révèle un résultat excédentaire net de 120 millions d’euros ! Plus que ce qu’a rapporté la hausse du Navigo à l’été 2016. Plus que les 40 millions d’euros que l’on réclamait en offres supplémentaires sur les bus. Sans parler des hurlements sur le passe Navigo à tarif unique qui allait ruiner le Stif… Voilà. » Explications à ce surplus du côté de l’AO : 56 millions proviennent du décalage d’octobre à janvier du RER NG, et « le solde d’un rendement meilleur que prévu du versement transport ».

 

Toujours est-il que dans l’opposition, on a beau jeu de rappeler les promesses de campagne, qui ne sont pas si anciennes.

 

Parmi les 52 amendements soumis lors du conseil du Stif, il en est un que ses porteurs s’attendaient à voir mieux accueilli, c’est celui qui réclamait que le ticket unitaire permette la correspondance entre modes ferrés et bus, comme dans la majorité des agglomérations françaises. « Pas en projet », leur a-t-il été répondu : cela coûterait « plusieurs centaines de millions d’euros », a estimé Valérie Pécresse.

 

La même qui écrivait dans son programme fin 2015 : « Avec un même ticket T+, vous pourrez prendre le métro, le RER, le bus et le tramway au cours d’un même trajet. » Et quand on lui rappelle, « elle explique que c’était… une coquille ! », râle Pierre Serne. Une autre explication ? La nouvelle vision d’avenir de l’exécutif régional. A la communication de la présidente, on suppute qu’avec la billettique modernisée, qui permettra notamment le post-paiement, les règles tarifaires seront plus justes…

 

Vu dans Article VR&T

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