Conformément à l'article 7 des conditions générales d'utilisation du forfait Navigo Annuel, "le forfait peut être suspendu puis repris à tout moment quel que soit le mode de paiement. La suspension et la reprise du forfait sont exclusivement réalisées dans les agences commerciales des transporteurs et certains comptoirs RATP afin que le forfait chargé dans la carte Navigo Annuel soit modifié." Ainsi, si vous souhaitez suspendre votre abonnement, je vous invite à vous rendre dans une agence commerciale (RATP ou Transilien-SNCF) afin de demander la suspension de votre forfait (service gratuit). Si vous ne pouvez vous déplacer, vous pouvez demander à une autre personne de se rendre en agence. Toutefois, pour ce faire, vous devrez lui fournir votre passe Navigo Annuel et une procuration écrite de votre part l'autorisant à suspendre votre abonnement. Par ailleurs, je vous informe que l'article 3.10.6 stipule que "toute opération ayant une incidence sur les prélèvements doit être enregistrée avant le 15 du mois en cours pour prendre effet au premier jour du mois suivant." Vous pouvez lire l'intégralité des conditions générales d'utilisation du forfait Navigo Annuel à l'adresse suivante :http://stifrec.prosodie.com/fileadmin/galerie/pdf/CGU_sept2015_Navigo_Annuel.pdf Pour toutes questions supplémentaires, vous pouvez contacter directement l'agence Navigo Annuel au 0969-39-22-22 (appel non surtaxé) ou par mail : gestion@agencenavigoannuel.fr
Suite à l’approbation du bilan de la concertation du prolongement du Métro
ligne 1 à Val de Fontenay à l’été 2015, le STIF et la RATP poursuivent des études approfondies sur le tracé 1 passant par Grands Pêchers à Montreuil et le tracé alternatif passant par Verdun à
Fontenay-sous-Bois.
Des sondages géotechniques sont réalisés aux alentours du carrefour de Verdun depuis le 22/02/2016 et pendant 5 semaines.
Des panneaux apposés sur les palissades précisent qu’il s’agit de la phase d’étude de ce projet.
Le président de SNCF Réseau, Jacques Rapoport, a démissionné de ses fonctions «pour raisons personnelles», a annoncé mercredi le secrétaire d'État chargé des Transports, Alain Vidalies. Nommé en décembre 2012 à la tête de Réseau ferré de France (RFF), intégré à SNCF Réseau l'an dernier, Jacques Rapoport, âgé de 63 ans, a remis sa démission vendredi 19 février, a précisé le secrétaire d'État dans un communiqué.
Le projet datait de 2014 : rénover les 2.000 abribus de la capitale. Mais que la mairie aurait omis leur fonction principale : ces arrêts de bus laissent passer le vent et la pluie. 15 mois plus tard, ils sont modifiés pour retrouver leur premier usage.
La présidente de la commission d'enquête du T10 avait déjà sévi pour les serres d'Auteuil
et, à titre d'équipière, pour la RD7 dans les Hauts de Seine.
Vous connaissez le fameux règlement qui assure la bonne marche de l'entreprise, en
l'occurrence la carrière d'un commissaire enquêteur :
1- le maître a toujours raison
2-- quand le maître a tort, se référer à l'article 1
Seul espoir pour les assoc : quand il y a plusieurs maîtres d'avis différents. Ici, la
Région et le 92 étaient- se sont mis ?- d'accord. J'attends les commentaires de Pierre Serne, qui avait porté seul la contestation au sein du STIF.
Peu importe l'existence d'un front associatif ou la réserve de l'Autorité Environnementale.
Les avocats peuvent se frotter les mains.
Pour info, avis favorable avec 2 réserves de la commission d’enquête publique sur le T10 :
http://www.hauts-de-seine.gouv.fr/Publications/Annonces-avis/Enquetes-publiques/Enquetes-publiques-2016/Tramway-T10
Les 2 réserves portent sur l'itinéraire cyclable le long de la RD2 et un pavillon très près du tracé à racheter à Antony.
En revanche, la commission semble convaincue par les arguments des maitres d'ouvrage sur l’emplacement du SMR.
Le STIF devrait déclarer l’intérêt général du projet lors du conseil du 17 février.
« C’est le grand apport de ce texte : nous avons créé un flagrant délit de soustraction à identité », nous indique Gilles Savary, le rapporteur de la proposition de loi sur la sûreté et la lutte contre la fraude dans les transports, en pointant les dispositions nouvelles définitivement retenues le 10 février par la commission mixte paritaire.
Des sénateurs voulaient imposer le port obligatoire de la carte d’identité dans les transports. « Mais il est impossible juridiquement de l’exiger. En réalité, ce qui importe, c’est de vérifier l’identité », explique Gilles Savary. Il a donc été décidé qu’à défaut de disposer d’une carte d’identité, on doit pouvoir justifier de son identité. « Si un voyageur refuse de montrer une pièce d’identité, une carte Vitale par exemple ou un permis de conduire, ou s’il est manifestement de mauvaise foi, il sera possible de le retenir, y compris par la force, jusqu’à l’arrivée d’un agent de police judiciaire qui procédera aux vérifications. Au départ, j’avais fixé la limite à une heure. Finalement, nous avons décidé que cela pourrait durer autant de temps que nécessaire », ajoute le député socialiste de Gironde.
Autre disposition phare selon lui, les réseaux de transport locaux devront se doter de services de sûreté dans le respect du cahier des charges des autorités organisatrices de transport (AOT). Plusieurs solutions sont possibles : soit les réseaux de transport recourront à des sociétés privées, soit ils disposeront de leurs propres services de sûreté qui seront contrôlés par le conseil national des agences de sécurité privées, soit encore la compétence relèvera de la police municipale sur tout ou partie du réseau à la suite d’accords entre les maires et les AOT, sous l’autorité du préfet départemental. Les AOT et les exploitants de transport devront signer avec le préfet un contrat d’objectif de sûreté dans les transports. « Avec deux lignes rouges à ne pas dépasser : ne pas entraver la mobilité et la circulation des biens et des personnes. Autrement dit, on ne mettra pas des portiques partout ! Deuxième principe, on ne donne pas aux agents de sûreté les prérogatives des agents de police et de gendarmerie », indique Gilles Savary.
Les agents des services de sûreté de la SNCF et de la RATP voient toutefois leurs pouvoirs renforcés. Ils pourront procéder à des fouilles de bagages, à des inspections visuelles ainsi qu’à des palpations. Ils pourront aussi intervenir en civil. Les sénateurs ont voulu ajouter la possibilité pour ces agents de disposer de caméras piétons, c’est-à-dire de caméras portables dont les images peuvent être exploitées en cas de contestation. Des sites ou des véhicules de transport pourront aussi être placés sous vidéosurveillance avec transmission des images en direct à la police pour vérifier le bien-fondé d’alertes. Le tout sous le contrôle du préfet et après en avoir informé le procureur de la République.
Le texte mis au point par la commission mixte paritaire va retourner début mars devant l’Assemblée nationale et le Sénat avant sa promulgation attendue courant mars. « C’est un texte pragmatique, concret, qui ne transgresse pas les libertés publiques et n’a pas cédé à la facilité émotionnelle de transformer en cow-boys les agents de sûreté des exploitants de transport », se réjouit Gilles Savary. L’élu précise qu’il a fait ajouter un amendement auquel il tenait : il demande au gouvernement de réaliser un rapport avant la fin 2017 sur le coût de la sûreté dans les transports. En clair, il s’agira de savoir qui doit payer : l’usager ou le contribuable ?
Une opportunité pour nos territoires
Pour info, avis favorable avec 2 réserves de la commission d’enquête publique sur le T10
:
Les 2 réserves portent sur l'itinéraire
cyclable le long de la RD2 et un pavillon très près du tracé à racheter à Antony.
En revanche, la commission semble convaincue par les arguments des maitres d'ouvrage sur l’emplacement du SMR.
Le STIF devrait déclarer l’intérêt général du projet lors du conseil du 17 février.
Visiblement, on a fait les fonds de tiroir, et la RATP est fortement mise à
contribution.
Mais rien n'est réglé pour les années suivantes..
GPE ligne 15 ouest - 5 février 2016
Je ne crois pas qu'on ait déjà évoqué ce rapport :
Avis favorable sans réserve de la commission d'enquête sur la ligne 15 ouest (Pont de
Sèvres / St Denis-Pleyel) :
http://prefectures-regions.gouv.fr/ile-de-france/Documents-publications/Consultations/Enquetes-publiques/Rapport-d-enquete-publique-sur-le-projet-de-ligne-15-Ouest
Voici le lien vers une étude de l'APUR concernant le système Velib actuel et des hypothèses d'extension dans le cadre du renouvellement du marché pour 2017. http://www.apur.org/etude/etude-opportunite-un-velib-metropolitain La problématique du vandalisme est réelle : 4600 vélos détruits en 2014 ! A la fin, figure une liste de villes, non équipées aujourd'hui, où le système Velib est jugé viable : on y trouve beaucoup de communes des Hauts-de-Seine.
Communiqué AUT Ile de France - 3 février 2016
Prolongement du RER E à l’Ouest, adaptations nécessaires à l’Est :
Il faut enfin débloquer les crédits nécessaires !
Le projet EOLE, prolongement du RER E à l’ouest, attend son protocole de financement global (3300 M€2012) depuis 2014. En l’absence de celui-ci, les principaux travaux n’ont toujours pas pu démarrer et il est désormais clair que l’objectif de mise en service en 2020 jusqu’à Nanterre ne sera pas tenu.
L’Etat serait sur le point d’annoncer le bouclage du financement d’EOLE via une nouvelle contribution de la Société du Grand Paris de 500 M€. Si cette décision est confirmée, l’AUT s’en félicite, tout en regrettant le temps perdu.
Cependant, il est également indispensable de financer des investissements sur la partie Est du RER E, notamment la nouvelle gare de Bry-Villiers-Champigny (correspondance ligne 15 sud) et un renforcement de la capacité. Une participation complémentaire de la SGP de l’ordre de 500 M€ apparait pleinement légitime puisqu’elle est à l‘origine du besoin de la nouvelle gare.
3 février 2016 -
Ci-joint les liens vers deux publications du STIF :
Je m’associe complètement aux autres critiques, je regrette en particulier la disparition du
plan des lignes de bus parisiens, les ouvertures trop hautes des panneaux de verre qui laisse passer vent et pluie et parfois même l’absence totale de côtés (gauche ou droite) par exemple sur la rue
Ordener à Paris 18éme.
ENCORE UN EXEMPLE DE DÉMOCRATIE DE FAÇADE !
Je trouve comme beaucoup de monde, l’absence de plan du réseau stupide. Elle n’est pas compensée
par l’existence de 2 plans de proximité ( un de la ville ,un de la ratp) qui ne permettent pas la possibilité de choisir un autre bus allant dans une autre direction ni par la possibilité de se
connecter, la visibilité sur un smartphone etant bien moindre.
Dans le quartier du 14° Alésia René Coty , la plupart des nouveaux abribus affichent , mais ce
n’est qu’un affichage, les panneaux indiquant les temps d’attente .... mais au moins la moitié ( statistique intuitive !) de ces panneaux ne fonctionnent pas ... Auprès de qui faut il demander un prompt rétablissement de cet affichage ?
Qu on m explique l interet d un abri qui n abrite QUE lorsque la pluie tombe bien
droite.
Aucune protection contre le vent froid d hiver et donc encore moins contre le vent +
pluie.
Mais effectivement, nous tablons sur une augmentation des températures avec la pollution
parisienne en plus ;)
Au début je croyait qu ils avaient oublié des vitres, mais non. Il parait que c est pour les
fauteuils roulant, qu ils puissent passer plus facilement...