Pour protéger certaines stations d'écoulements d'eau en cas de gros orages, la RATP a acheté des sacs Floodsax.
Enfin !
J'avais posé la question de la liaison Gare de Nord -
Gare de l'Est lors de l'IRC 2014 de la gare de l'Est. La représentante de la Mairie de Paris avait affirmé que le projet de Balcon Vert était relancé avec un hotel au lieu d'un immeuble de
bureaux.
Il semble que cette nouvelle configuration se
confirme. Si le projet de CDG Express était confirmé, cet emplacement serait effectivement idéal pour un hotel. La chaine d’hôtels Okko a été fondée en 2012 avec le soutien de Paul Dubrule, l'un des
fondateurs du groupe Accor.
Dans le projet précédent (immeuble de bureaux), la
terrasse dénommée "balcon vert" n'était pas parcourue par des flux importants de piétons. Elle constituait une sorte de promontoire au-dessus des voies de la Gare de
l'Est.
Les voyageurs en transit entre la Gare du Nord et la
Gare de l'Est continuait à emprunter la rue d'Alsace dont la dénivellation avec le quai 1 de la Gare de l'Est était mécanisée. On peut supposer que le nouveau projet reprend ces
dispositions.
Interrogé en décembre 2014 sur le matériel prévu pour le RER E, Guillaume Pepy... nous dit : « ça redémarre
début 2015 ». Et il fait remarquer que, comme le projet de prolongement du RER E à l’ouest n’est toujours pas financé, l’urgence de commander le matériel qui va avec n’est pas telle. De fait, la
convention, qu’on voulait boucler en juin dernier, et qui doit être signée en juin prochain et n’est toujours pas ficelée. La Ville de Paris, regrette-t-on dans les bureaux de la région, se fait
prier pour verser sa contribution.
Commentaire : le principe d'une gare à la Porte Maillot pourrait être remis en cause.
Ce 21 janvier 2015, la délégation Montreuilloise à Matignon, afin de remettre au Premier Ministre les cartes pétitions que nous signées et lui adresser un message clair : les Montreuillois ne veulent plus voir leurs projets de transports remis en cause ou retardés. Catherine Pilon, Patrice Bessac, Alain Fabre, Frédéric Marion.
Article où l'on apprend que la DUP de la ligne 15 sud est signée le 24 décembre (et publiée le 27 )
Monsieur Patrice BESSAC, Maire de Montreuil organise une délégation à Matignon avec l'ADUTEC, afin de remettre au Premier Ministre les cartes pétitions que nous avons signées.
Compte tenu du Passe Navigo unique, le titre Mobilis zone 1-2 à 7€ serait dézoné et cela deviendrait donc un titre journalier à 7€ sur toute la Région. J'en déduis qu'il fallait mettre en
cohérence les tarifs des billets O/D afin de ne pas dépasser 7€ aller-retour.
En fait, une source bien informée m'a appris que le dézonage du Mobilis ne fait pas partie de l'accord Région-CCI !
Il est donc prévu en l'état de maintenir le zonage Mobilis avec les prix actuels ainsi que la grille tarifaire des billets O/D.
La situation sera donc pire que je pensais pour les non-abonnés.
Cela justifie encore plus une action de notre part, sous une forme à définir, pour pointer ces aberrations.
L'article de Mobilicités précise que la modif par ordonnance doit permettre de changer le forme juridique du CDG Express, puisque la concession, prévue dans la loi, n'est plus d'actualité.
La liaison directe Paris-Roissy sur de bons rails
Une procédure express pour le CDG Express. C'est ce qu'à décidé le gouvernement pour boucler en 2023 cette liaison ferroviaire directe entre la gare de l'Est et le terminal 2 de l'aéroport Charles-de-Gaulle.
Le futur train mettra la capitale à
vingt minutes de Roissy et facilitera la vie aux voyageurs, aujourd'hui contraints d'emprunter les autoroutes A 1 et A 3 souvent embouteillées ou un RER B pas toujours
fiable.
Matignon veut passer à la vitesse supérieure. Le gouvernement a fait adopter lundi un amendement au projet
de loi Macron pour la croissance et l'activité afin de pouvoir légiférer par ordonnance sur le CDG Express sans passer devant le Parlement. Objectif : permettre sa réalisation « dans un
calendrier contraint guidé par des échéances à caractère international (en cas de candidature à l'organisation des Jeux olympiques ou d'une Exposition universelle) », selon
Matignon.
Aéroports de Paris et la SNCF pilotent le projet. Serpent de mer, la liaison CDG Express a accumulé retards et
déconvenues. Après cinq ans de travail, le groupe de BTP Vinci avait jeté l'éponge en 2011, faute de financements. Il y a un an, le ministre des Transports a relancé le projet en le confiant à
Aéroports de Paris (ADP) et Réseau ferré de France (aujourd'hui SNCF Réseau). Les deux sociétés travaillent depuis octobre à la mise à jour des données (utilisateurs attendus, longueur des trains,
fréquence...). « Le feu vert de la Commission européenne est prévu dans le courant de l'année. Une société de projet sera alors mise sur pied et on pourra commencer à construire »,
détaille-t-on chez ADP.
Un projet financé par une taxe sur les billets d'avion. Evalué à 1,7 Md€, le chantier débutera en 2017 et s'annonce
complexe. Il se fera sans rupture du trafic ferroviaire. Sur les 32 km de la ligne, 8 km seront entièrement créées : une « virgule » entre la sortie de la gare de l'Est et le
faisceau nord des voies SNCF et un tronçon entre Villeparisis (Seine-et-Marne) et l'aéroport. Le prix du billet s'élèvera à 24 € à l'ouverture de la ligne. L'Etat ne déboursera pas un sou pour
financer la liaison qui ne devrait pas être rentable, au moins dans un premier temps. C'est pourquoi une taxe de 1 € sera prélevée sur chaque passager aérien (ils étaient 62 millions en 2013).
« Sans cet équipement, l'aéroport Charles-de-Gaulle ne pourra pas se développer, fait-on valoir chez ADP. Et c'est un enjeu de compétitivité énorme pour la France, Paris et sa région. » On
estime que 1 million de passagers supplémentaires à Roissy contribue à la création de 4 000 emplois en Ile-de-France.