Les chantiers du nouveau métro vont générer quelque 45 millions de tonnes de déblais ! Face à un tel volume, équivalent à celui de 9 000 bassins olympiques, la Société du Grand Paris s'engage à valoriser au moins 70 % des terres excavées, selon une logique d'économie circulaire.
Ce qui suppose d'instaurer une totale transparence depuis l'extraction jusqu'à la destination finale des déblais.
Démonstration de l'outil traçabilité, entre l'arrière-gare de Noisy - Champs et la carrière de Pécy (77).
La place UFR a une drôle
d'allure......
La première rame de la ligne B du métro de
Rennes vient d’être présentée. Il s'agit d'un Val (comme sur la ligne A), métro automatique revu par Lohr pour le compte de Siemens.
A noter que le système de guidage est identique
à celui du tramway sur pneus Translohr conçu aussi par Lohr.
A noter aussi que suite à la vente forcée de
l'activité tramway/ferroviaire de Lohr à Alstom en 2013, la production des 25 rames pour Rennes, ainsi que celles destinées aux autres réseaux, a été délocalisée par Siemens de l'usine Lohr de
Duppigheim, près de Strasbourg, à l’usine Siemens de Vienne.
Ile-de-France: la carte Imagine R augmentera de plus de 8 euros en septembre 2017
Le géant chinois BYD construira ses bus électriques à Allonne, 100 emplois attendus
23 mars 2017
A partir de 2018, 200 bus électriques BYD sortiront des chaînes de production oisiennes. Le constructeur chinois installe une unité de production à Allonne, à côté de Beauvais. Cent emplois seront créés dans un premier temps. . DR
C’est officiel. Le constructeur chinois BYD i (Build your dreams) installera une unité de production de bus électriques à Beauvais. La création de 100 emplois est annoncée « pour une première phase » et la campagne de recrutement débute aujourd’hui. L’usine, installée sur l’ancien site Michelin d’Allonne, sera mise en service au cours du premier semestre 2018. BYD a investi 10 M€ dans cette opération qui comprend également la création d’un site de maintenance et de production de pièces détachées. Chaque année, ce seront 200 bus électriques de 12 m qui sortiront des chaînes de production oisiennes. Le marché des transports parisiens est visé par BYD. La RATP a d’ailleurs testé un bus électrique BYD et soumis au constructeur chinois les modifications à réaliser pour adapter leur produit aux exigences françaises.
Câble A – Téléval, succès pour la concertation publique ! (23 mars 2017) - Lire le communiqué
- Le STIF lance le projet de prolongement du Tram 8 au Sud (23 mars 2017) - Lire le communiqué
- Les grilles horaires des lignes A, J et L font leurs révolutions (23 mars 2017) - Lire le communiqué
Cette concertation sur Cité U est vraiment légère : pas de réunion publique, pas un mot sur l’éventuel accès
nord.
De plus le délai a fortement glissé :
Dans le schéma directeur B sud de 2013, on lisait 2018 (ci-dessous)
En 2017, la RATP recale à 2022.
Donc on peut se demander ce qu'il s'est passé pendant 4 ans...
" En septembre 2015, l'amélioration de l'accès sud était prévue être mise en service en 2018 selon un document STIF, 2020 selon un document RATP. (J'ai deux documents datés du même jour !)
Aujourd'hui, 18 mois plus tard, il est question de 2022 !
Apres avoir interrogé le STIF au sujet de Cité U :
Il
n'est pas satisfait de la gestion de ce dossier par la RATP : il a reconnu qu'on avait pris 4 ans de retard en 4 ans, sans pouvoir l'expliquer.
Désormais la RATP commence vraiment les études AVP.
Mais elle a récemment eu un échange avec le services des espaces verts de la ville de Paris qui conteste le projet !
Bref, c'est pas gagné.
Et
pour l’accès Nord, c'est en accord avec le STIF que la RATP n'en dit pas un mot car il n'y a "pas d'études sérieuses et pas de financement"...
Le STIF développe les transports à la demande labellisée STIF (22 mars 2017) - Lire le communiqué
- Le STIF développe le réseau nocturne de bus Noctilien (22 mars 2017) - Lire le communiqué
- Le budget du STIF 2017 : 1,6 Milliards d’euros pour concrétiser la Révolution des Transports (22 mars 2017) - Lire le communiqué
Le cout est d'environ 71 M€ plus environ 30 M€ pour les travaux préparatoires. Nous sommes d'accord pour dire que cette station aurait du être mieux entretenue. Nous avons souvent signalé l'état de crasse de ses installations, sans succès. L'ancienne directrice générale du STIF en était bien consciente mais elle-même n’avait rien pu obtenir.
extrait du budget du STIF 2017 montre qu'il était
temps de mettre fin à la gratuité des jours de pic de pollution : l'Etat n'a jamais payé les 50 % promis.
Il est proposé de reprendre les
provisions suivantes :
- la provision concernant le litige sur la prise en charge de la perte de recettes tarifaires induite par la décision de gratuité des transports en commun franciliens pour cause de pollution entre le
14 et le 17 mars 2014. Le coût de cette mesure, estimé à 14 M€, avec un engagement de l’Etat d’en financer 50% a fait l'objet d'une provision de 7 M€, les opérateurs réclamant au STIF la part non
versée par l’Etat. A la suite d’un contentieux lancé et gagné par la RATP, le STIF a du payer en 2015 à la RATP un montant de 4,675 M€. En parallèle, la STIF doit régler le solde du cout de cette
mesure cette année à la SNCF. Le solde de la provision (2 324 472 €) vient compenser cette dépense, elle est donc reprise. Le remboursement des 50 % a été demandé à l'Etat sans retour à ce
stade.
Mise en œuvre des nouvelles mesures de sécurité dans les transports (13 mars 2017) - Lire le communiqué - Lire le Dossier de presse
Si vous voulez contribuer à l'amélioration de
ViaNavigo :
http://actus.lab.vianavigo.com/le-lab-de-vianavigo-cest-quoi/
Le contrat de plan revu et corrigé entre l’Etat et la région à peine conclu, Valérie Pécresse a découvert que le gouvernement s’apprêtait à ne verser cette année que la moitié de sa contribution…
Pour cette année un milliard d’euros doit être apporté par les deux partenaires, dont 665 millions de la région, et 335 millions de l’Etat. Mais quelques jours après la signature, colère de Valérie Pécresse : l’Etat n’a budgété que 175 millions pour 2017… La présidente de la région a écrit à Bernard Cazeneuve. « Je ne peux pas commencer avec trou de financement. D’autant que les T9 [Paris - Orly] et TTME [tram-train Massy – Evry] sont prêts à démarrer », commente-t-elle. Et d’ajouter, quand on lui fait remarquer que l’Etat a classiquement du mal à verser sa quote-part au contrat de plan : « Je ne fais pas du classique, je fais du Pécresse. »
C’est le 7 février que le Premier ministre, Bernard Cazeneuve, et la présidente de la région Ile-de-France ont signé un avenant au contrat de plan 2015-2020 initialement conclu entre Manuel Valls et Jean-Paul Huchon. Le contrat définitif prévoit 7,4?milliards d’euros d’investissements pour la période, apportés par l’Etat (3 milliards) et la région (4,4 milliards). Soit un montant total de 8,8 milliards, compte tenu du « bloc local ».
5,3 milliards d’euros doivent aller aux transports. Des transports qui ont reçu un coup de pouce de 60 millions et dont le calendrier a été un peu modifié, pour accélérer les projets majeurs comme le prolongement d’Eole à l’ouest ou l’électrification de Paris – Troyes. Ou pour phaser sur deux contrats les prolongements des tramways T1, d’Asnières à Colombes ou du T9, d’Athis-Mons à Juvisy.
Première gare de l'est parisien
VAL DE FONTENAY
Actuellement, la gare de Val de Fontenay – 100.000 voyageurs/jour – est desservie par les lignes de Trains-RER A et E et sept lignes de bus. Le projet de réaménagement vise à préparer l'arrivée de
nouveaux modes de transports (tram T1, métro lignes 1 et 15) et le développement urbain du quartier (450 000 m2), et donc une augmentation de la fréquentation de la gare évaluée à 70% à l'horizon
2030.
Il s'agit d'améliorer les espaces à l'intérieur de la gare pour
améliorer la circulation des voyageurs et les correspondances, mais aussi de réaménager les abords de la gare pour faciliter l'intermodalité (bus, piétons, vélos, taxis...).
Le projet soumis à concertation présente deux scénarios : un accès piéton aux quais et lien urbain entre l'est et l'ouest via une passerelle ou via un souterrain. Deux ateliers balades sont
programmés le 9 mars et deux rencontres voyageurs (le 21 février et le 21 mars).
Admirez la simplicité du plan de financement des études pour Val-de-Fontenay...
Capacité de la version de 112m
places assises :
- nombre de places à assises fixes : 264
- nombre de places à assises relevables : 168
- nombres de strapontins : 69
- pour un total de 501 places assises
places totales :
- nombre de passagers en conditions normales (assis+debout, les assises relevables et les strapontins étant relevés, plateforme=6P/m², couloir étroits et escaliers =2P/m²) : 1563
Capacité de la version de 130m
places assises :
- nombre de places à assises fixes : 324
- nombre de places à assises relevables : 201
- nombres de strapontins : 81
- pour un total de 606 places assises
places totales :
- nombre de passagers en conditions normales (assis+debout, les assises relevables et les strapontins étant relevés, plateforme=6P/m², couloir étroits et escaliers =2P/m²) : 1861
Précision :
Assise relevable = confort équivalent à celui d'une place assise
Strapontin = "confort dur" = "planches" horizontales et verticales