L'ADUTEC et la FNAUT Ile de France étaient présents à la présentation des bus électriques HEULIEZ et du nouveau désign intérieur.
Le groupe RATP et Île-de-France Mobilités viennent de doter le réseau de bus de l’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, SQYBUS, d’une flotte de trois bus 100 % électriques.
Ce sont les premiers bus électriques mis en circulation dans la Grande Couronne (95, 78, 91, 77).
Deux d’entre eux sont mis en circulation cette semaine, et vont d’abord couvrir le secteur ouest de Saint-Quentin-en-Yvelines, au niveau de Maurepas–Élancourt, sur les nouvelles lignes nées avec la restructuration du réseau de bus, en septembre : 420, 22, 459, 23-24.
250 km d’autonomie
Ces bus de 12 mètres, fabriqués par la société française Heuliez, peuvent rouler entre 200 et 250 km par jour.
Grâce à la recharge lente de nuit, ils tiennent une journée complète d’exploitation, assure Remy Foyer, directeur général délégué d’Heuliez Bus. Ils ont 350 KWh de batterie qui se rechargent en 3 heures. »
La recharge s’effectue au centre opérationnel bus de SQYBUS à Trappes, spécialement équipé pour les accueillir.
Le design des bus a lui aussi été repensé, selon la volonté du Département des Yvelines de rendre cohérent l’ensemble du matériel roulant.
Les bus sont donc floqués « Ile de France Mobilités » et « SQYBUS ».
A l’intérieur, la signalétique est très présente. Des flèches au sol permettent de guider les usagers à l’arrière du bus et des vignettes et codes couleur permettent à chaque voyageur de se placer au bon endroit dans le bus.
Ainsi, les sièges pour personnes à mobilité réduite sont en rouge, les autres en bleu.
Des prises USB sont également mis a disposition pour pouvoir recharger ses appareils électriques le temps de son trajet.
Les premières semaines de mise en circulation vont permettre notamment aux chauffeurs de s’habituer à cette nouvelle conduite.
Le thermique et l’électrique sont complètement différents. Les chauffeurs ont un indicateur sur le tableau de bord pour savoir combien il reste de batterie. Lorsqu’ils freinent, ils récupèrent de la batterie », explique Christophe Vacheron, directeur de la région Ile-de-France RATP Dev.
Les habitants vont également être consultés pour donner leur avis sur cette nouvelle flotte.
500 000 euros par bus
Outre l’enjeu de santé et de transition énergétique, ces bus offrent une meilleure qualité de trajet en réduisant les nuisances sonores.
L’arrivée de ces véhicules propres s’inscrit dans l’engagement pris par la région Île-de-France d’atteindre 2/3 de bus électriques en Petite Couronne (75, 92, 93, 94) d’ici 2025 et 1/3 en Grande Couronne.
C’est le premier acte d’une politique de renouvellement du matériel roulant », confirme Christophe Vacheron.
« Sur l’île-de-France, plus aucun bus thermique de 12 mètres n’est acheté », ajoute Juan Lopez, directeur de SQYBUS.
Acquis pour 8 ans, chaque bus coûte environ 500 000 euros, financés par le groupe RATP et Île-de-France mobilités.
A Bagneux, le tunnelier Ellen a démarré sa progression le 14 février, direction Clamart.
Ellen, le troisième tunnelier du Grand Paris Express, a commencé à creuser ses tout premiers centimètres ce 14 février à partir du puits d'entrée Robespierre à Bagneux. Sous la supervision des équipes du groupement CAP, piloté par Vinci Construction, il va parcourir quatre kilomètres jusqu'à la gare Fort d'Issy - Vanves - Clamart, au rythme de 10 à 15 mètres par jour. Une fois cette mission accomplie, Ellen creusera 900 mètres supplémentaires en direction de la future gare Arcueil - Cachan.
Célébré en décembre dernier par près de 6 000 personnes à l'occasion de KM5, une fête populaire lors de laquelle son nom avait été dévoilé, ce tunnelier est le premier à entrer en action dans le département des Hauts-de-Seine sur la ligne 15 Sud.
Découvrez en vidéo les étapes de construction d'un tunnel :
Un Centre de Commandement Unique (CCU) vient d'ouvrir à la gare de Vincennes. Il réunit la RATP et la SNCF, pour informer plus rapidement les voyageurs du RER A en cas d'incident sur la
ligne.
Environ 25 agents sont installés dans le centre de commandement.
"C'est ce qu'on attendait !", se réjouit Alain Fabre, de l'association d'usagers ADUTEC, en Seine-Saint-Denis.
Si, comme Alain, vous prenez le RER A tous les jours, vous restez peut-être parfois bloqués, train à l'arrêt, sanssavoir pourquoi. Et vous attendez de longues minutes avant de connaître la nature
de l'incident et de pouvoir choisir une autre solution. Ce temps mort est peut-être bientôt résolu ! Comme le RER B, la ligne A vient d'ouvrir, à la gare de Vincennes, un Centre de Commandement
Unique (CCU), qui réunit la RATP et la SNCF (cette dernière gère les branches Cergy-le-Haut et Poissy). Le but est bien sûr de mieux faire circuler l'information et donc de mieux informer les
voyageurs.
"Un centre commun, c'était la moindre des choses" - Mathieu Hemour, responsable du centre
Derrière leurs écrans d'ordinateurs, les 25 agents peuvent désormais transmettre les informations à leurs collègues en quelques secondes. "On se lève et on va leur parler, sinon il faut crier !", sourit Daniel, chef de régulation à la RATP.
Avant, les informations circulaient par téléphone. "Si un train est en retard, par exemple, je préviens directement mes collègues de la SNCF pour savoir comment ils comptent gérer le problème de
leur côté", explique Daniel. Le RER A, la ligne la plus fréquentée d'Europe.
Au bout de la chaîne, le voyageur est lui aussi informé plus rapidement, via tous les canaux d'information habituels.
"C'est vrai que c'était un besoin, reconnaît Lisette Chriqui, de l'association d'usagers ADUTEC. Parfois, on n'a pas assez d'informations. Donc on se demande entre nous ce qu'il se passe, quand le
train va repartir, etc."
"Il faut des informations en direct, ajoute Alain Fabre. Pas une heure après l'incident !"
Chaque jour, le RER A transporte 1.300.000 voyageurs. Mais il subit aussi une quarantaine d'incidents, entraînant des perturbations d'au moins 5 minutes. Le Centre de Commandement Unique devrait
donc, d'ici peu, réduire le temps nécessaire pour informer les voyageurs.
samedi 23 mars 2019 à 6:06 Par Suzanne Shojaei, France Bleu Paris
Votre ligne 6 se lance dans un ambitieux programme de modernisation. Votre ligne sera entièrement revue : l’infrastructure, la signalisation, le système de pilotage
des trains, le centre de dépannage, la machine à laver et l’arrivée progressive des nouveaux trains à partir de 2021. L’objectif est simple : vous assurer un meilleur service.
Pour pouvoir accueillir les futurs trains, les équipes de la RATP vont notamment devoir adapter l’infrastructure au futur matériel, un peu plus large que l’actuel.
Certains quais de la ligne vont donc devoir être amputés de quelques centimètres (de 2 à 5 cm).
Précisément dans votre quartier, à la station Cambronne, ces travaux sont réalisés de nuit pour éviter l’interruption de l’exploitation en journée, du 17 mars au 5 avril 2019.
La RATP met tout en œuvre pour réduire les nuisances sonores engendrées par ces travaux et prête une attention toute particulière au respect de la tranquillité dans
votre quartier.
À l’issue de ces travaux, l’espace entre le train et les quais sera donc un peu plus grand, et ce jusqu’à l’arrivée des rames modernisées.
Nous vous invitons à faire attention lors de la montée et de la descente du train.
Une carte intéressante qui résume le rapport de la commission Duron (COI) pour la région IDF :
http://tdie.eu/wp-content/uploads/2018/12/Les-projets-dinfrastructures-examin%C3%A9s-par-le-COI-en-Ile-de-France.pdf
TRAVAUX DE RÉNOVATION DU VIADUC DE LA LIGNE 6 INSTALLATION D’EMPRISES DE CHANTIER BOULEVARD DE GRENELLE À PARTIR DU 18 MARS 2019
Entre 2019 et 2020, la ligne 6 du métro parisien va connaître une succession d’interventions et de chantiers liés, notamment, au projet de rénovation du viaduc de la ligne 6. Débuté en 2014,
dans le cadre de notre politique d’entretien du patrimoine, ce chantier connaîtra deux nouvelles (et dernières) étapes avec interruption de trafic, dont la première démarrera en juillet
prochain, pour une durée de 2 mois.
Nous poursuivons les travaux de rénovation du viaduc entre les stations Dupleix et Cambronne. Cette opération consiste à la remise en peinture. Ces travaux vont nécessiter l’installation de
différents équipements en amont, notamment des emprises de chantier sous le viaduc de la ligne.
Ceci aura des conséquences sur le fonctionnement de l’espace public boulevard de Grenelle. À partir du 18 mars 2019, quelques places de stationnement seront neutralisées. Le marché de
Grenelle restera quant à lui installé sous le viaduc de la ligne, entre la rue de Lourmel et la rue du Commerce. La RATP met en effet tout en œuvre pour réduire les nuisances engendrées par
cette installation et adaptera donc ses horaires de travail les jours de marché.
On le sait depuis plusieurs mois maintenant : la ligne 15 sud du Grand Paris Express, entre Pont de Sèvres et Noisy-Champs, ne sera pas mise en service pour les JO de 2024, alors même qu’elle devait être la toute première opérationnelle. La faute notamment à une série de difficultés techniques, dont la principale en gare de Saint-Maur, la plus profonde de France (chantier à découvrir dans une prochaine vidéo).
Pour autant, les opérateurs du BTP ne chôment pas sur ce tronçon de 33 km et 16 gares, avec un objectif : une mise en service mi 2025.
Les sites en travaux sont innombrables : la plupart ont débuté en 2017 et les chantiers avancent à un rythme soutenu, parfois même 24h/24 : un an et demi après notre dernier passage, les choses ont bien changé !
Focus sur trois gares emblématiques : Bagneux (en future correspondance avec la ligne 4), Arcueil Cachan (avec le RER B) et Villejuif Gustave Roussy (avec la ligne 14), là où vont se croiser à 40 m sous terre les lignes 14 et
15. Du grand art. Vous découvrirez également un tunnelier en phase de montage, à ciel ouvert, à quelques mètres du RER B, à Arcueil.
A partir du mardi 12 mars 2018 Démolition d’un mur en béton armé en fond de puits.
Dans le cadre du Prolongement de la Ligne 11 du métro à l’Est, nous vous informons qu’à partir du mardi 12 mars, l’entreprise de travaux du chantier de la DHUYS, poursuivra la phase de démolition de
la paroi moulée se trouvant en fond de puits. Cette opération réalisée jusqu’au vendredi 15 mars, permettra de débuter les travaux de réalisation de la voute de la station souterraine. Ces travaux
seront réalisés en journée.
Nous vous remercions de votre compréhension et vous assurons de notre volonté de réduire au maximum les perturbations sur la vie de votre quartier. Nous vous remercions de votre compréhension
et vous assurons de notre volonté de réduire au maximum les perturbations sur la vie de votre quartier.
C’est peu dire que la
ligne 16 est attendue comme le messie par les 800.000 habitants qu’elle doit desservir une fois achevée.
La ligne 16, c’est un chantier à 4,5 milliards d’euros, censé se terminer en 2030 avec la mise en service de son terminus Est, à Noisy-le-Grand : elle desservira alors 10 gares, sur 27,5 km. La ligne 16, c’est une nouvelle ligne de vie de 27,5 km, traversant de part en part la Seine-Saint-Denis : elle reliera notamment Saint-Denis, La Courneuve, Le Blanc-Mesnil, Aulnay-sous-Bois, Sevran et Clichy-Montfermeil, soit six communes parmi les plus pauvres d’Ile de France. La ligne 16, c’est aussi, pour sa partie la plus à l’Ouest, entre Saint-Denis et Aulnay, l’un des rares tronçons jugés prioritaires, à l’aune des Jeux Olympiques et de l’urgence de désenclaver des certains quartiers aujourd’hui coupés du monde ou presque.
Alors où est ce chantier ? Nous nous sommes rendus en gare de Saint-Denis Pleyel, La Courneuve Six routes et sur le site d’entonnement, en amont de la gare du Bourget RER : c’est là que se sépareront, à 20 m sous terre, les lignes 16 et 17.
En fin de vidéo, Thierry Dallard, président du directoire de la Société du Grand Paris, répondra à nos questions, huit mois après sa nomination et alors que se multiplient les annonces alarmistes (retards, économies etc…).
CME Solutions, cabinet d'études de marché indépendant, a publié son classement des parts de marché des autobus électriques à batteries en Europe pour l'année 2018.
La première place est détenue par une alliance Sino-Anglaise.
Non, rien à voir avec la banque HSBC ! Il s'agit de l'association BYD/ADL Alexander Dennis qui aurait à elle seule 25% du marché. La force d'ADL sur le marché britannique est ici déterminante.
Suit Solaris Bus avec 17% du marché européen des autobus à batteries. Le constructeur polonais se singularisant par la diversité de chaînes de traction proposées : électriques à batteries, électriques bifilaires, IMC, pile à combustible. Solutions auxquelles il faut ajouter des autobus hybrides et GNV.
Le Néerlandais VDL est 3e de ce podium 2018, avec 13% du marché européen de l'électrique à batteries. Il propose une gamme complète de véhicules, allant du low floor au Low Entry, dans différentes configurations de longueur ou de présentation.
Yutong suit, avec 9% du marché européen.
Surprise avec, en 5e position européenne, le Tchèque SOR. Cela alors que la marque n'est pas présente en Europe de l'Ouest. Avec la même part de marché de 6%, on retrouve Volvo et Ursus (un autre constructeur Polonais). Bolloré et Irizar suivent avec 4%.
A noter, la présence d'un nouvel entrant ambitieux dans ce classement 2018 : Mercedes-Benz (avec toutefois 2% des immatriculations d'autobus électriques européens). Le spécialiste hélvétique de l'électrique bifilaire, Hess, est présent ici grâce à ses autobus « sans fil » développés en partenariat avec ABB (le fameux TOSA).
Enfin, une certaine dispersion existe sur ce marché puisque 7% des immatriculations sont réalisés par des « divers » : Ebusco Golden Dragon, Sileo Bozankaya, etc...
DU LUNDI 29 AVRIL AU DIMANCHE 5 MAI INCLUS, LA LIGNE tram T1 SERA FERMÉE ENTRE ESCADRILLE NORMANDIE-NIÉMEN ET GARE DE NOISY-LE-SEC
Afin de garantir la sécurité et la fiabilité du service de la ligne 1 du tramway, nous procédons au remplacement des rails entre les stations Hôtel de Ville et Libération, et au niveau de la
station Pont de Bondy. Cette intervention nécessitera la fermeture de la ligne T1 du lundi 29 avril au dimanche 5 mai 2019 inclus entre les stations Escadrille Normandie-Niémen et Gare de
Noisy-le-Sec. Un bus de substitution sera mis en place entre chacune de ces stations. Il circulera aux mêmes horaires que le tramway.
La préparation de ces chantiers débutera le 1er avril. Les travaux seront menés 7j/7, 24/24 et seront susceptibles de provoquer une activité sonore inhabituelle dans votre quartier.
Nous veillons à minimiser les gênes et la durée de notre intervention.