ENQUETE PUBLIQUE MODIFICATIVE

Ligne 15 est: Saint-Denis Pleyel <> Champigny Centre (ligne orange)
Du réseau de Transport public du Grand Paris

http://www.enquetepubliqueligne15est.fr/

RER B et ligne 15 : chantier de ripage d’un pont dalle en gare d’Arcueil Cachan

Le bois de Vincennes accueille une navette sans chauffeur - 27 oct 2017

Le lancement officiel s’effectuera le 8 novembre mais le dispositif est déjà fin prêt, voir la démo ci-dessous.

 

Pendant six mois, la région et la ville de Paris vont tester une navette sans chauffeur, gratuite, entre la station de bus-métro du Château de Vincennes et le parc floral.

 

Un trajet assez simple de quelques centaines de mètres, qui ne nécessite pas de franchir un carrefour avec plusieurs voies (il n’est pas encore question de prendre la Bastille ni le rond point de l’arc de Triomphe) mais comprend tout même un tournant entre le cours des Maréchaux, la voie en pavés qui longe la caserne, et l’avenue de Paris (RD120) assez passante.

 

Par précaution, des parpaings ont été disposés au cas où le véhicule ferait fausse route.

Le 11 octobre un voyageur a été happé sur un quai du RER E à Val-de-Fontenay par un train sans arrêt et est décédé. A la suite de cet accident tragique, une pétition a été lancée à propos de la dangerosité de cette gare.

Val-de-Fontenay : une pétition pour la sécurisation des quais du RER E - 26 oct 2017
Val-de-Fontenay une pétition pour la séc[...]
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La SNCF supprime 7 gares auto/train sur 12 : la FNAUT dénonce cet abandon du rail et demande le maintien des dessertes du Sud-ouest et des Alpes - communiqué de la FNAUT
Communiqué FNAUT mercredi 26 octobre 201[...]
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Bientôt des "dents" sur les portes du RER E pour décourager les mauvais comportements - 24 oct 2017
Bientôt des dents sur les portes du RER [...]
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l'ADUTEC s'est rendu sur la ligne 23 pour tester ce nouveau matériel en test - 20 oct 2017

Un inconvénient de l’isolement du conducteur à l’avant : vente des tickets à bord difficile sinon impossible, difficile également d’accueillir et renseigner un voyageur à la montée.
 
Une question : y a-t-il place en largeur dans l’allée à un UFR + passage des voyageurs ?
 

il s'agit enfin d'un véhicule réellement innovant conçu par les équipes de Lohr car NTL (New TransLohr), c'est la nouvelle appellation de l'activité tramway de Lohr acquise par Alstom en 2013.

Les roues rejetées aux quatre coins du véhicule sont une excellente idée car elles permettent de dégager un vaste plateau plat. Les roues arrière directrices permettent de rendre ce véhicule manœuvrable en ville et d'accoster parallèlement au trottoir, ce qui est aussi une qualité appréciable.

Attendons que les points négatifs soient traités pour juger définitivement.

Il s'agit d'un concurrent redoutable pour Bolloré.

 

Il s'agit du premier prototype en circulation, qui fera donc l'objet d'améliorations/ajustements.

Premières impressions :

 

Extérieurement, il est "remarquable" :

  • Roues avant et arrière situées aux extrémités de la caisse
  • Les roues arrière sont orientables. 

 

Intérieurement (dans la configuration de ce prototype) :

  • L'impression, agréable, est très différente du ressenti des bus actuels : un plancher plat et une allée rectiligne, de largeur constante, de bout en bout (sauf au niveau des roues arrière)
  • Des sièges individuels d'un côté, des banquettes deux places de l'autre côté, qui donnent une toute autre impression (convivialité) que deux sièges côte à côte.
  • Par contre, au fond du bus, 6 "places" (2x3 en face à face) situées au-dessus de l'essieu, difficilement accessibles (3 marches étroites)  et extrêmement peu confortables (la tête des grands touche le plafond. Imaginons lors de secousses pendant les trajets, même pour les moins grands). Cet espace ne peut être laissé ainsi.
  • Deux places UFR/poussettes situées à l'avant du bus. Leurs entrée et sortie se faisant par la porte avant, seule équipée de palette.
  • 25 places assises dont 5 PMR. A comparer aux bus actuels.
  • Le conducteur est assez isolé des voyageurs. Il est un peu recentré en raison du passage de roue avant gauche, isolé par une paroi plexi toute hauteur et le voyageur qui veut lui parler doit s'avancer vers lui et lui doit tourner la tête un peu vers l'arrière (pas formidable). Son habitacle est équipé d'une ventilation réfrigérée. Il m'a été dit que le second prototype (qui sera prêté à un autre réseau que la RATP) bénéficiera d'une ventilation réfrigérée pour les voyageurs !
  • Les voussoirs étant presque horizontaux, les plans sont quasi invisibles, illisibles.
  • Grandes fenêtres basses, donc intérieur lumineux.

 

En circulation :

  • Suspension quasiment inexistante (elle pourra être réglée plus souple, mais le bus devra repasser l'homologation).
  • Le ou les moteurs électriques (roues arrière) sont bruyants !
  • Sièges très durs
  • Le fait que les roues arrière soient orientables ne provoque aucun sentiment désagréable
  • Les roues arrière s'orientent spécifiquement pour permettre l'accostage. Excellent !
  • Au démarrage d'un arrêt, les roues arrière restent fixes et ne s'orientent à nouveau qu'à la suite d'un processus obscur (distance parcourue depuis l'arrêt ? vitesse minimale ? virage d'un rayon minimum ?)

 

Les points à étudier ou revoir, sans ordre :

  • Assouplir la suspension
  • Assouplir les sièges
  • Revoir complètement l'espace situé sur les roues arrière, inutilisable en l'état
  • Rendre l'accès au conducteur plus convivial (les conducteurs, isolés des voyageurs, sont contents, mais le service aux voyageurs en pâtit)
  • Sans doute revenir à un accès /sortie des UFR et poussettes par la porte centrale et non la porte avant (conflit avec les entrants, incitation pour tous les voyageurs à sortir par l'avant, différence avec les autres bus, aménagement de certains arrêts inadapté)
  • Trouver une disposition pour les plans de ligne les rendant lisibles
  • Exiger la ventilation réfrigérée qu'Alstom va installer sur le second prototype et qui ne pose pas de problème d'autonomie selon NTL.
  • Une caméra extérieure permet au conducteur de voir ce qui se passe aux portes, sur le trottoir. C'est bien, mais il faut aussi une caméra intérieure sur la porte centrale (au lieu des miroirs vus sur ce prototype, comme dans un passé lointain. Un "grand" rend ces miroirs totalement inopérants).

Tram T11 Express - 19 oct 2017

Petit retour rapide sur nos échanges du jour avec le STIF sur les prolongements du T11
 

Les couts AVP indiqués sont 470 M€ côté Noisy et 840 M€ coté Sartrouville (en valeur 2009).
Dans ces conditions, les services du STIF considèrent qu'il faudrait financer la partie Est et réétudier la partie Ouest en utilisant les voies GC vu le faible trafic fret.

 

Mais dans les 2 cas, il faut une décision politique avec déblocage de financements, pas prise à ce jour.

Il serait intéressant de savoir combien coûterait le prolongement à Sartrouville en empruntant les voies de la Grande Ceinture qui ne sont parcourues que par 5 à 6 trains de fret chaque jour.

Cette solution pragmatique, même si elle nécessite quelques trous dans le graphique des circulations du T11, permettrait de revenir au principe initial du tram-train.

Travauxd’interconnexionavecleGrandParisExpress Le RER B interrompu entre les gares de Laplace et Bourg-la-Reine du 1er au 5 novembre inclus
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Le Grand Paris Express se prépare à l'arrivée des tunneliers - 17 oct 2017
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A bord des navettes autonomes Navya Arma de Keolis à La Défense - 16 oct 2017
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Enquête publique sur la future Ligne 15 Est - 16 oct 2017
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Marché francilien du bus électrique : les industriels en ordre de bataille - 14 oct 2017

 

Un Bluebus, autobus électrique construit par le groupe Bolloré.

 

 

 

 

Du Français Bolloré aux Chinois BYD et Yutong, tous les acteurs lorgnent sur la manne de 2 milliards d’euros que représente l’électrification des autobus en Ile-de-France.

 

Dans les travées des Rencontres nationales du transport public (RNTP), le grand salon français du transport collectif, qui se tenait à Marseille du 10 au 12 octobre, on ne voyait qu’eux : les autobus électriques. Des véhicules à batterie de toutes tailles et affichant toutes sortes de pays d’origine : polonais, chinois, basques espagnols, italo-français, franco-chinois et français tout court.

 

La bataille pour le bus électrique a bel et bien commencé en France et en Europe.

 

Une petite dizaine d’industriels se disputent un marché naissant et surtout alléchant. Les constructeurs sont électrisés par les promesses d’un chambardement dont l’épicentre se trouve en région parisienne : la flotte d’autobus de la RATP – 4 600 véhicules – devra être complètement propre en 2025 et comporter de 70 % à 80 % de bus électriques, soit de 3 000 à 3 700 véhicules (le reste devant rouler au gaz).

 

En outre, une part non négligeable des 4 000 autres bus et cars roulant en Ile-de-France sur des lignes régulières hors RATP va devoir s’électrifier, ne serait-ce que pour entrer dans Paris, qui vient d’annoncer la fin du moteur thermique pour 2030. C’est donc sur une manne de plus de 2 milliards d’euros que les industriels peuvent compter dans la décennie à venir pour la seule région capitale de la France.

Les grandes manœuvres ont commencé

 

L’excitation générale est d’autant plus intense que le résultat du premier vrai appel d’offres de cette grande électrification ne devrait pas tarder à être connu : une commande de la RATP de centaines de bus tout électrique (probablement au-delà de 200) et qui pourrait tutoyer les 150 millions d’euros.

 

Le chiffrage précis, qui est en train d’être finalisé par Ile-de-France Mobilités, le syndicat des transports de la région, sera rendu public fin décembre ou début janvier. La commande viendra s’ajouter à deux plus petits marchés (déjà lancés) de 40 bus électriques chacun et à la livraison d’une vingtaine de véhicules...

La verbalisation passe mieux avec les contrôleurs en civil - 13 oct 2017

G Ligne H, entre Paris et Saint-Denis, mardi. Grâce à l’effet de surprise, les contrôleurs en civil coincent plus facilement les fraudeurs.

 

Jean, doudoune, baskets... Rien ne les distingue des passagers jusqu'à ce qu'ils sortent leur brassard fluo. Et les contrôleurs en civil du réseau Paris-Nord multiplient par deux le nombre de fraudeurs verbalisés.

A

ujourd'hui, ils ont laissé leur uniforme au placard. Les six contrôleurs qui s'apprêtent à traquer les fraudeurs sur la ligne H (Paris Nord-Persan-Pontoise-Luzarches) sont habillés comme Monsieur-tout-le-monde : l'un d'entre eux est plutôt « streetwear », jeans, baskets et casquette, un autre porte une chemise et des mocassins, d'autres portent un sweat à capuche, une petite doudoune... Bref, des vêtements passe-partout, ainsi qu'un petit sac, lui aussi issu de leur propre garde-robe, pour y ranger leur brassard siglé « contrôle SNCF » et le terminal qui sert à dresser les procès-verbaux et encaisser les paiements par carte de crédit.

 

Répartis d'un bout à l'autre du quai, ces contrôleurs en civil montent séparément, feignant de ne pas se connaître, dans le premier train. Une fois à l'intérieur, ils gardent un oeil sur leur téléphone, car pour rester discrets, ils se coordonnent via l'application de messagerie Whatsapp. « Nous créons un groupe de conversation dédié pour chaque opération de contrôle », précise Mourad, le chef des contrôleurs du secteur de Paris-Nord, l'un des plus « fraudés » d'Ile-de-France.

 

Les portes se ferment, le train démarre, puis quelques minutes plus tard, comme un seul homme, les six contrôleurs se lèvent, enfilent leur brassard, puis Matthieu, le responsable du jour, prend la parole : « Mesdames, messieurs, bonjour. Nous allons procéder au contrôle de vos titres de transport ».

 

Une dame, assise tout près de lui, n'en revient pas. « Je n'avais jamais vu ça ! C'est vrai que là, la surprise est totale ! Mais c'est très bien qu'ils innovent un peu.

 

Moi je paie 75 EUR par mois pour mon Navigo, et quand je vois tous ces gens qui montent dans le train sans billet, je trouve que ce n'est pas juste. »

 

Après une première tournée plutôt fructueuse, Mourad explique qu'opérer en civil « est deux fois plus efficace » qu'en portant l'uniforme. « Lorsqu'on est en tenue, les fraudeurs nous voient arriver de loin. Et du coup, ils arrivent plus facilement à nous échapper. » Mais le plus étonnant, c'est qu'ils « réagissent mieux à nos contrôles quand on est en civil, car la verbalisation est plus discrète ».

 

Ce que confirme Sarah, de Deuil-la-Barre (Val-d'Oise), qui vient de se faire aligner en arrivant à gare du Nord. « Ça met moins la pression et j'ai l'impression aussi qu'ils se comportent un peu moins comme des cow-boys. Du coup, je n'ai pas protesté et réglé tout de suite mon amende, sans me dire que toute la rame me regarderait en me jugeant, car à part mes voisins immédiats, personne ne sait ce qui est en train de se passer. »

 

C'est l'autre effet positif des contrôles en civil. D'après Matthieu, « on a un meilleur ratio d'encaissement immédiat. Les gens voient moins le côté répressif et sont moins enclins à crier, pour garder la face, que de toute façon, ils ne paieront jamais ».

 

Pour l'instant appliqués sur les régions de Paris-Est et Paris-Nord, les contrôles en civil seront étendus à tout le réseau Transilien en Ile-de-France d'ici la fin de l'année.

Grégory Plesse  Le Parisien

La gare Saint-Lazare équipée de portiques de contrôle en 2019 - 12 oct 2017
La gare Saint-Lazare équipée de portique[...]
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Gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse : l’Autorité environnementale rend un avis - 10 oct 2017
Gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse l’Autor[...]
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PROLONGEMENT DE LA LIGNE 18 A L’EST Rencontre ministre des transports du 6 octobre 2017 Val de Marne - Essonne

PROLONGEMENT DE LA LIGNE 18 A L’EST Rencontre ministre des transports du 6 octobre 2017
Présentation L18Est ministre transports.[...]
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Ci-joint la présentation CD94/91 argumentant pour le prolongement Est de la ligne 18.
Ce projet n'est pas idiot dans l'absolu mais c'est du 2035...
Vu notre position sur la 18, j'ai indiqué au Val-de-Marne qu'on ne se positionnera pas la-dessus pour le moment.
Pour améliorer l’accès à Orly, le plus pertinent est déjà d'amener le T7 à Juvisy...

Parcs relais aux portes de Paris : des tarifs à négocier - 9 oct 2017
Parcs relais aux portes de Paris des tar[...]
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RATP Dev renouvelé pour l’exploitation de PAM 91

 

FlexCité, filiale de RATP Dev spécialisée dans le transport à la demande et le transport des personnes à mobilité réduite, s’est vu renouveler son contrat en Essonne, pour une durée de 5 ans, à partir du 23 novembre 2017. FlexCité 91 emploie 45 salariés qui assurent 45 000 courses par an, est opérateur du service depuis 2011.

Ce contrat s’accompagne de plusieurs nouveautés, selon la RATP. Une application mobile informe les voyageurs en temps réel et leur permet d’organiser leurs déplacements en lien avec les autres modes disponibles (TER, bus, covoiturage…).

 

Les voyageurs peuvent également réserver le transport en ligne, et sont prévenus par SMS de l’arrivée du véhicule. FlexCité 91 s’engage de plus à transformer progressivement 10% du parc en véhicules 100% électriques.

Enfin , s’agissant de la qualité de servcie, en plus de la certification ISO 9001 obtenue en 2016, FlexCité 91 a co-construit une charte avec l’Académie du Service.

Val-de-Marne : l'association Orbival s'inquiète pour les projets de transports - 6 octobre 2017

Ils sont tellement inquiets qu’ils convoquent une réunion exceptionnelle dans un mois. Elus, entreprises et autres futurs usagers des transports de l’association Orbival tirent la sonnette d’alarme face au possible report de certains projets de transports qui touchent le Val-de-Marne. Les dernières annonces gouvernementales ont semé le doute sur le calendrier de réalisation notamment de la ligne 15 Est et du prolongement du métro 1 jusqu’à Val-de-Fontenay.

« Le projet du Grand Paris Express est un projet de transport structurant du territoire, impatiemment attendu, insiste l’association dans un communiqué. De ce fait, il est inconcevable de reporter une partie du tracé. En reportant celui-ci, les interconnexions prévues ne pourront se faire et le projet perdra de sa pertinence d’autant plus que la situation actuelle dans les transports routiers comme collectifs se détériore au fil des jours et, par conséquent, dégrade la qualité de vie de tous les Franciliens. »

Et d’ajouter que « la ligne 15 Est participe au désenclavement et au développement de l’Est parisien. Elle constitue la rocade du Grand Paris Express, tronçon indispensable pour achever le projet qui a tout son sens dans la désaturation qu’il apportera aux lignes A et E du RER. »

 

  leparisien.fr
Rénovation : quatre gares RER majeures vont changer de visage - 5 oct 2017
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Saint-Maur stoppe le chantier du supermétro à cause des horaires - 5 oct 2017
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Aménagement de la gare de Saint-Denis - L'Ile-Saint-Denis / Concertation publique / Projet d'avis de L'AUT - 4 oct 2017
Gare de Saint-Denis - Concertation - Av[...]
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RER, Transilien : sur quelle ligne les trains sont le plus en retard ? - 4 oct 2017
RER, TRANSILIEN SUR QUELLE LIGNE LES TR[...]
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Rencontre Ile de France Mobilités avec les associations d'usagers - 3 octobre 2017

Point sur les mobilités au service des Franciliens et la Révolution des transports en Ile de France

Ile de France Mobilités - 3 octobre 2017

Tramway T1 Bobigny – Val de Fontenay : 1ère convention de financement réalisation « insertion urbaine » et études du « système de transport »

la situation est la suivante :

  • Le prolongement à l'ouest, vers Colombes, a été déclaré  "projet olympique". L'AVP est en validation cette semaine au STIF et à la RATP.
  • Ce prolongement nécessite et le renouvellement du matériel roulant et le futur SMR de Montreuil.
  • En toute logique, on peut en déduire que c'est l'ensemble (T1 ouest + T1 est + nouveau matériel) qui devient un "projet olympique". Ça devrait logiquement remuer un peu toutes les parties prenantes.

 

D'autre part, à Noisy le sec, le tracé par l'avenue Jean Jaurès semble progresser. (Accès limité aux riverains et aux livraisons, accepté le Maire).

Bien mais reste à trouver 450 M€ pour ce projet + 250 M€ pour le prolongement ouest

Ile-de-France Mobilités approuve le financement des projets de Tram 1

 

Les prolongements Est et Ouest du Tram 1 obtiennent de nouveaux financements
Actuellement en service entre Asnières-Gennevilliers-Les Courtilles (92) et Noisy-le-Sec (93), le Tram 1 fait l’objet de plusieurs projets d’investissements notamment pour des prolongements de la ligne vers l’Est et vers l’Ouest.
 
Le prolongement vers l’Est devra desservir 15 nouvelles stations sur 7,7km entre Noisy-le-Sec et Val de Fontenay pour environ 46 000 voyageurs par jour. Ce projet permettra d’assurer une meilleure desserte en transports en commun de l’Est parisien et de désenclaver certains quartiers.

 

Ile-de-France Mobilités vient de voter la première convention de financement pour la réalisation du projet pour un montant de 7M€ sur un coût total estimé à 454,8M€ financé par la Région Ile-de-France (58,33%), l’Etat (30,67%), la Seine-SaintDenis (10%) et le Val de Marne (1%).
 
A l’Ouest, l’une des extensions de la ligne doit relier Asnières (station Asnières-Gennevilliers-Les Courtilles) à Colombes (station Gabriel Péri) sur 6,4km avec la création de 12 nouvelles stations pour 60 000 voyageurs par jour. Ce projet est d’ailleurs essentiel pour l’accueil des Jeux Olympiques à Paris en raison de la desserte prévue du stade Yves-du-Manoir sur son tracé. La convention de financement des travaux préalables a été approuvée par Ile-de-France Mobilités pour un montant de 10,88M€ sur un coût global du projet de 244,8M€ qui sera mis en service fin 2023. Le financement des travaux d’infrastructure est d’ailleurs assuré par l’Etat, la Région Ile-de-France et les Hauts-de-Seine.

 
 

Ça avance enfin pour le T1 à l’Est !

Ce mardi 3 octobre 2017 en conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités (ex STIF), les administrateurs ont adopté –à l’unanimité- la première convention de financement de ce projet tant attendu et structurant pour le territoire.

 

La mobilisation de Stéphane Troussel, président du Conseil départemental, de Corinne Valls vice-présidente et des élus locaux a porté ses fruits. Ça avance enfin ! Cette première convention d’un montant de 7 millions d’euros marque une étape cruciale dans la réalisation du prolongement du T1 à Val de Fontenay. Elle va permettre de poursuivre les acquisitions foncières mais aussi et surtout d’engager les travaux.

 

Après 15 ans d’attente, les habitants de Noisy-le-Sec, Romainville, Montreuil et Val de Fontenay, peuvent se réjouir : le prolongement du T1 à l’Est est sur les rails ! C’est aussi une bonne nouvelle pour les usagers du tronçon historique, puisque cela signifie le renouvellement du matériel roulant et l’amélioration de leurs conditions de voyage aujourd’hui très dégradées.

 

Stéphane Troussel et Corinne Valls :
"Les enjeux et bénéfices attendus sont cruciaux. Nous parlons de l’amélioration des conditions de vie de nos concitoyens par un accès pour tous à la mobilité, par le désenclavement de nos quartiers, par la baisse des émissions de CO2, par le développement des commerces ou encore par l’embellissement de nos villes. Nous parlons de faire faire un saut qualitatif à une ligne de transport historique qui sera au cœur du dispositif Olympique.

 

C’est pourquoi, bien que nous nous réjouissions de la signature de cette première convention de financement, il est urgent désormais de signer la deuxième pour 2018 pour la bonne poursuite du projet. Le financement du T1 est sanctuarisé dans le Contrat Plan État-Région par l’inscription de 300 millions d’euros. Ces derniers n’attendent plus qu’à être engagés, le Département est prêt alors allons-y !"

 

Communiqué de presse du Cabinet présidence du département de la Seine Saint Denis

Nouvelle étude CATP sur les motorisation bus :
http://www.catp.fr/wp-content/uploads/2017/09/Etude-comparative-des-diff%C3%A9rentes-motorisations-de-bus-2017.pdf

Lue en diagonale mais en gros il n'y pas de solution facile qui se dégage...

Je note en particulier que le RER B a le plus fort taux d'incidents matériel

CANDIDATURE DE LA FRANCE A L’EXPOSITION UNIVERSELLE 2025 GARANTIES RELATIVES A LA DESSERTE EN TRANSPORTS COLLECTIFS - séance du 5 sept 2017 STIF
N599R_expo2025.pdf
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